mardi 16 septembre 2008

REAL ESTATE DUBAI /IMMOBILIER DUBAI

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Depuis mai 2002 et le décret du cheikh mohammed ben rashid al maktoom autorisant les étrangers à devenir propriétaires a Dubai, le marché de l’immobilier à Dubai a explosé !
Le marché a grimpé fortement et sans-discontinu et les nouveaux développements avec vente sur plan sont vendus en l’espace de 48 heures. Et certain projets font l’objet de revente avec des plus-values de 100% dans certains cas.

Depuis le début du boom en 2002, les augmentations de prix ne semblent pas s’essouffler. Les prestations offertes sont toujours très bonnes par rapport aux prix d’achats. Ce bon rapport qualité-prix, mixé avec une offre inférieure à une demande et des avantages fiscaux rendent le marché de Dubai très attractif.Actuellement la croissance de population du pays est la plus élevée du monde, engendrant des tensions sur le marché locatif et donc sur les prix de vente. Le marché locatif n’arrive pas à répondre à la demande et cela tend a multiplier encore davantage le nombre des ventes sur plan.De plus, Dubai étant considéré comme l’une des villes les plus sûre et des plus prospères du monde, le marché de l’immobilier est pous tous les professionnels un investissement vraiment sûr.

Les personnes interessées par ce marché mais qui n’y sont pas encore présents espèrent réellement qu’une opportunité se présentera. Là encore, tout porte à penser que le marché de l’immobilier a Dubai ne fait que décoller.Comme l’offre de propriétés est très inférieure à la demande, les promoteurs ne peuvent construire assez rapidement leur projet et d’autres ne trouvent simplement plus assez de place pour construire. La tension sur les prix ne fait qu’augmenter !

L’intérêt porté au pays croit tous les ans, et le marché est porté à la fois par les locaux mais aussi par les étrangers. Quand on voit la différence de prix de l’immobilier avec le Royaume-Uni, ou même avec un pays comme Hong-Kong qui se rapproche de Dubai au niveau de sa densité et de ses richesses, on peut voir que les prix n’ont pas cessé d’augmenter.

Mais les authorités de Dubai veulent contrer la spéculation sur leur marché et éviter des revers de fortune pour leurs concitoyens. Elles veulent établir un marché immobilier solide où l’investissement à long-terme sera sûr. Toutefois, pour arriver à un objectif d’équilibre entre l’offre et la demande, Il faut dans un premier temps permettre aux spéculateurs et aux racheteurs d’intervenir pour arriver à, court ou moyen terme à un prix d’équilibre. Cela encourage également les investissements à long-terme.Si vous achetez un bien immobilier a Dubai, vous vous rendez compte que presque toutes les propriétés sont sans locataires (bien qu’il y ai peu de location sur le marché). Généralement, une propriété locative est un appartement et la période est de 99ans. Un dépôt vous est demandé de 1500 à 4500 euros. Ce dépôt est remboursable si le vendeur change d’avis.

Les acheteurs de propriété sur plan doivent généralement payer un dépôt avoisinant 10% du prix d’acquisition lors de la signature du contrat de vente.Il n’y a pas de taxe sur l’achat a Dubai. De plus, dans la plupart des cas les authorités délivrent sans problème un VISA de résident permanent.

lundi 8 septembre 2008

REAL ESTATE- ALGERIA

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Le Président Bouteflika préside une réunion restreinte consacrée au secteur des finances :
Les indicateurs macro-économiques positifs

08-09-2008 à 00:44 EL MOUDJAHID
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Ph. : A. Yacef

Les réserves de change à fin juin 2008 : 133 milliards de dollars
- Taux de croissance : Il sera de 4,1% en 2009 (6,6% hors hydrocarbures)- Dette publique : Elle n’est désormais plus que de l’ordre de 623 millions de dollars- Budget de fonctionnement : Il va atteindre sous peu 3.300 milliards de dinars
Dans le cadre des auditions annuelles qu'il dirige sur les activités des différents secteurs du gouvernement, M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, a présidé une réunion restreinte consacrée au secteur des finances.L'exposé présenté par le ministre des Finances a abordé successivement la situation globale des finances publiques nationales, la réforme des administrations fiscale, douanière et des domaines, la réforme du secteur financier et enfin la relance de la planification et de la prospective.
A. S'agissant de la situation globale en matière des finances publiques du pays, il ressort notamment ce qui suit :1. Les indicateurs macro-économiques sont demeurés positifs tout au long de ces cinq dernières années. Ainsi, pour l'année 2007, la croissance du produit intérieur brut a été de 3% en général et de 6,3% hors hydrocarbures, ce qui reflète l'importance de la dépense publique, en matière de construction d'infrastructures notamment, l'inflation a, quant à elle, été maintenue à un seuil raisonnable en contexte de forte dépense publique, l'excédent commercial est demeuré important avec 33 milliards de dollars US en 2007, malgré une poursuite de la hausse des importations, enfin, les réserves de change ont atteint 133 milliards de dollars US à fin juin 2008, contre près de 78 milliards de dollars US à la fin 2007.Il y a lieu de préciser dans ce cadre, que ces indicateurs macro-économiques confortant les hypothèses de croissance du produit intérieur brut (PIB) telles qu'établies pour fonder la loi de finances pour 2009, soit un taux de croissance de 4,1% (6,6% hors hydrocarbures).La dette publique extérieure n'est désormais plus que de l'ordre de 623 millions de dollars US à fin juin 2008, suite au désendettement anticipé décidé par le Chef de l'Etat en 2005. Pour rappel, la dette extérieure publique avait atteint un pic de 33 milliards de dollars US en 1997 et se situait encore au niveau de 21 milliards de dollars US à la fin de l'année 2004.De la même manière et suite aux directives présidentielles pour le remboursement de la dette publique interne, celle-ci a déjà enregistré une réduction de 60% appelée à se poursuivre encore.2. Les dépenses publiques sont en progression constante, du fait de l'importance du programme quinquennal de développement, mais aussi de poids atteint par les dépenses de fonctionnement.Ainsi, le budget de fonctionnement qui sera de l'ordre de 2500 milliards de dinars pour 2009 (soit 223% de la fiscalité ordinaire) atteindra sous peu 3.300 milliards de dinars, du fait de la prise en charge des frais de fonctionnement des diverses nouvelles réalisations administrative et socio-culturelle, mais aussi de l'importance de l'intervention de l'Etat au titre de l'action sociale, dont le montant a déjà dépassé 1.000 milliards de dinars durant l'année 2008.— L'instauration de facilitations douanières au service de l'économie et de l'investissement par la promotion des normes et pratiques internationales de "KYOTO", les formules de dédouanement à domicile, le paiement électronique de droits et taxes, le désengorgement des ports grâce à la création d'infrastructures extra-portuaires.3. La maîtrise des éléments de taxation et de contrôle des avantages fiscaux par la vulgarisation du nouveau tarif douanier, l'élaboration d'un fichier de valeurs références, le suivi des informations sur la fraude en valeur douanière ainsi que sur les avantages fiscaux.4. La mise en place d'un système de lutte contre les différentes formes de fraude, par le biais de la création de cellules d'analyse pour des interventions immédiates et a posteriori la coordination avec les autres corps de sécurité au niveau de la surveillance des frontières, l'assainissement du corps des commissionnaires en douane, la création d'une structure spécifique chargée de la lutte contre la contrefaçon, et la multiplication de conventions avec les propriétaires de marques et, enfin, la participation active à la lutte contre le transfert illicite de capitaux.En troisième lieu, au sujet de la protection et de la valorisation du domaine national, celles-ci ont fait l'objet de plusieurs mesures et du lancement de diverses actions dont :1. Le renforcement du dispositif législatif par la révision de la loi domaniale et la révision des modalités de concession des terrains domaniaux destinés à l'investissement ; 2. Les nouvelles mesures organisationnelles telles que l'institution d'une procédure rapide d'enquête foncière, la mise en place du système d'information propre aux domaines, la formation des personnes des services des domaines qui a déjà touché plus de 1.000 agents et la réalisation proche de 100 centres intercommunaux fonciers ;3. L'accélération du cadastre général, pour lequel il a déjà été fait appel à la sous-traitance avec des géomètres et experts fonciers, tout comme a été lancé le recours à l'appui de l'image satellitaire.
C. S'agissant du secteur financier, l'exposé du ministre des Finances a présenté l'évolution de différentes réformes en cours.En premier lieu, au sujet de la réforme du secteur bancaire, les résultats suivants ont déjà été atteints :
1. Le renforcement de la stabilité et de la rentabilité des banques publiques grâce notamment à la mise en place de contrats de performance pour les dirigeants et le renforcement du rôle des conseils d'administration, l'amélioration des fonds propres des banques publiques de plus de 150 milliards de dinars. De ce fait, tous les grands projets d'investissements sont financés par nos banques, le renforcement de la capacité d'engagement des banques sur les crédits à moyen et long terme, grâce à une ligne de crédits du Trésor public et l'assainissement du portefeuille des banques avec le traitement des créances des entreprises publiques fortement déstructurées ;
2. Le renforcement du marché des crédits à travers l'élargissement de l'offre financière à travers le marché des obligations émises par les sociétés qui a déjà atteint plus de 160 milliards de dinars, la création de sociétés de capital risque et de leasing, une plus grande intervention des banques publiques dans le financement des dispositifs gouvernementaux d'aide à la création d'emplois et la promotion de la part des banques publiques dans le crédit commercial ;
3. Le développement du crédit immobilier, notamment par une augmentation de 30% en 2007 des crédits au logement, ainsi que le renforcement de l'environnement juridique pour la couverture de l'hypothèque ;
4. La modernisation des moyens de paiement notamment avec le nouveau système de télécompensation des paiements dont le résultat a été une nette amélioration des délais de paiements de chèques et le lancement de la carte nationale de paiement bancaire et de retrait interbancaire.Il reste, à souligner, le développement constant des crédits destinés au financement de l'économie. Ces derniers, qui avaient enregistré une hausse de 13% entre 2006 et 2007, poursuivent la même tendance depuis le début de l'année en cours, tout comme il est à relever que 55% des portefeuilles des banques sont désormais constitués de crédits aux entreprises privées.En second lieu, concernant le marche financier, ce dernier enregistre :
1. La mise au point d'un plan de modernisation qui vise notamment à améliorer l'image de marque du marché financier et consolider la confiance des émetteurs et des investisseurs, dynamiser l'activité titres et assurer un flux constant de leurs missions ;2. L'engagement de premières innovations concrètes à partir de 2007, notamment l'entrée en activité du dépositaire central et l'introduction en bourses de valeurs du Trésor public pour consolider l'encours des transactions sur le marché.En troisième lieu, concernent le secteur des assurances, ce dernier a notamment enregistré depuis le début de l'année dernière la mise en place de la commission de supervision des assurances, le renforcement des fonds propres des assurances publiques, la mise en place de partenariat avec les assurances étrangères et, enfin, la vente des produits des assurances au niveau des banques.
D/ En ce qui concerne la relance de la planification et de la prospective, le ministre des Finances a fait état des évolutions suivantes :
1. La réalisation, au cours du premier semestre 2008, du recensement général décennal de la population et de l'habitat dont les résultats exploités seront disponibles dans les prochaines semaines ;
2. La nomination du commissaire général à la planification et à la prospective en juillet 2008, suivie par l'installation, en août dernier, du Conseil national de la statistique, en même temps que l'Office national des statistiques qui a pris possession de son nouveau siège ;
3. Le Commissariat général de la planification et de la prospective va désormais s'atteler à l'organisation et au renforcement des structures de l'Office national des statistiques (ONS), au lancement du programme national des travaux statistiques, à l'établissement du schéma directeur pour la cohérence des décisions économiques nationales, l'évaluation du programme d'équipement réalisé durant la dernière décennie pour éclairer les perspectives en la matière et, enfin, à l'organisation de la formation en prospective.A l'issue de l'examen de cette évaluation, le Président Abdelaziz Bouteflika a, d'abord relevé tout l'intérêt que revêt l'état des finances publiques qui portent encore excessivement la charge du développement national, ainsi que l'importance du secteur financier dans tous ses segments, au regard du rôle qui lui est dévolu pour la dynamisation de l'investissement et, partant, la création de richesses autres que les hydrocarbures.S’agissant de la situation financière du pays, le Chef de l'Etat a rappelé ses directives lors du dernier Conseil des ministres, pour que soit mis un terme au gaspillage sous toutes ses formes, et pour que la dépense publique soit rationalisée davantage.A ce titre, le Président de la République a instruit le ministre des Finances pour que, à l'avenir, l'examen de tout projet d'investissement public soit accompagné de la prise en considération des dépenses de fonctionnement et autres dépenses récurrentes qu'il générera. "Cela n'est pas destiné à freiner les efforts de l'Etat en matière de développement auxquels j'accorderai toujours une importance extrême, tant les retards à rattraper sont encore importants dans notre pays. Mais nous devons aussi renforcer notre visibilité sur l'avenir à moyen et long terme. J'entends donc que cette démarche soit mise en œuvre lors de la préparation du prochain programme quinquennal pour la période 2009-2014. J'entends également que ce futur programme accorde la priorité aux projets ayant fait l'objet des études préalables pour leur lancement sans retards, ni réévaluation", a déclaré le Président de la République.Poursuivant ses remarques sur la rationalisation des ressources financières du pays, le Chef de l'Etat a instruit le ministre des Finances de diligenter la réflexion pour la création d'un mécanisme financier national, à travers lequel le Trésor sera en mesure de mobiliser et de fructifier une part de l'importante épargne de l'Etat, en appui au financement de l'investissement économique dans le pays."Certains nous suggèrent de nous lancer dans l'aventure d'un Fonds souverain pour rentabiliser davantage nos réserves de change à l'étranger. J'estime que le pays continue d'avoir un énorme besoin de capitaux pour le développement de l'économie nationale, qui ne plaide pas actuellement pour ce choix ", a relevé le Président Abdelaziz Bouteflika.S'agissant de la réforme des services fiscaux et des douanes, le Chef de l'Etat a ordonné qu'elle fasse l'objet d'un programme spécial de renforcement et de modernisation. "Après avoir lancé ces dernières années un programme spécial de développement des appareils de la justice, de la police nationale, de la gendarmerie nationale et des gardes-frontières, nous devons à présent mettre l'accent sur les services des impôts et des douanes. C'est à ce prix que nous renforcerons l'Etat de droit, que nous consoliderons un cadre transparent pour le développement économique, et que nous assécherons les sources de la fraude et de l'argent mal acquis", a poursuivi le Président de la République. Abordant la finalisation du cadastre général pour lequel a été annoncé un délai de dix années, le Président Abdelaziz Bouteflika a jugé ce délai excessif et ordonné au ministre des Finances de mobiliser tous les moyens requis, y compris aérien pour que cette opération soit parachevée dans un maximum de cinq années, y compris dans le nord du pays. "La finalisation du cadastre est fondamentale, notamment pour l'aménagement du territoire, l'urbanisme, les transactions ainsi que l'investissement", a poursuivi le Chef de l'Etat.En ce qui concerne le système bancaire, le Chef de l'Etat a pris acte des efforts qui ont été réalisés et appelé à les poursuivre.Le Président de la République a ajouté : "Nous sommes pour l'ouverture aux banques étrangères et aux banques privées, mais dans le respect des normes universelles. L'autorité monétaire doit donc mettre au point un cahier des charges fixant certains critères aux banques voulant travailler en Algérie, et notamment l'obligation pour elles de réserver une partie de leur portefeuille au financement réel de l'investissement et non pas à se limiter à l'accompagnement du commerce extérieur ou à la promotion des crédits à la consommation. Nous respecterons les normes internationales avec nos partenaires étrangers dans tous les domaines, mais nous attendons aussi de leur part le respect des intérêts de l'Algérie", a poursuivi le Président Abdelaziz Bouteflika.
En outre, le Chef de l'Etat a instruit le ministre des Finances, qui exerce le contrôle des banques publiques, de veiller à l'identification de voies et moyens d'accroître le crédit au financement de tout investissement local productif, sain et sincère.Le Président Abdelaziz Bouteflika a souligné que "nous devons encourager davantage les investissements productifs nouveaux, non pas ceux spéculatifs, mais ceux qui contribuent à la création de richesses véritables et qui participent à la création d'emplois. Le gouvernement doit donc trouver des solutions à cette question", a ordonné le Chef de l'Etat.
Enfin, abordant le démarrage du Commissariat chargé de la planification et à la prospective, le Président de la République a souligné que "c'est grâce à un instrument statistique de qualité que nous aurons une connaissance exacte de nos déficits, ainsi que de nos réalités économiques et sociales, C'est aussi grâce à une planification certes indicative, mais efficace, que nous pourrons orienter plus rationnellement la dépense publique de développement, mais aussi canaliser l'investissement vers les secteurs que notre pays considère prioritaires, et vers les régions sur lesquelles nous voulons mettre l'accent dans le cadre de l'équilibre régional et de l'aménagement du territoire, c'est enfin grâce à une véritable capacité de prospective, que nous serons en mesure de conduire notre développement national en l'inscrivant dans la continuité, dans la succession des générations et que nous le mettrons à l'abri de graves retournements futurs", concluant par une instruction au gouvernement d'apporter son soutien et son assistance au Commissariat chargé de la planification à la prospective.
source:el moudjahid quotidien

lundi 1 septembre 2008

IMMOBILIER EN ALGERIE

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Il y a beaucoup de spéculations dans l’immobilier à Alger. Dans certains quartiers, soit disons résidentiels comme Hydra, Benaknoun et l’Ebiar, le prix d’un appartement atteint parfois les 30 millions de dinars comme à la Résidence Chaabani au Val-D’Hydra. La location d’un appartement atteint jusqu’à 200.000 DA/mois. Pour les Villas, les prix atteignent 100 millions de dinars et plus et les locations jusqu’à 400.000 DA/mois et plus. Le problème c’est qu’il n y aucune battisse qui vaut ce prix là quand je vois les plans et les finitions des constructions. Sans parler des entreprises étrangères qui louent et achètent, je me demande quels sont les particuliers qui achètent à ces prix là ?
source: la tribune